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Retour à la vie

21 novembre 2009

PECHEUR Jonathan RETOUR A LA VIE Aux éditions

PECHEUR  Jonathan

RETOUR

A LA

VIE


Aux éditions PECHEUR

DU MEME AUTEUR

A paraître prochainement :

La providence

Le grand plongeon

Ultime secousse

L’univers ultime

La loi du 11 mars 1957 n’autorisant, aux termes des alinéas 2 et 3 de l’article 41, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective, et, d’autre part que les analyses et les courtes citations  dans un but d’exemple et d’illustration, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite ( alinéa 1 de l’article 40). Cette représentation ou reproduction, par quelque  procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les Articles 425 et suivants du code pénal.

© 2008 « Édition Pecheur and co »,  Nancy. Reproduction et traduction, même partielles, interdites. Tous droits réservés pour tous pays.

Retour à la vie

            A six heures très précise ce matin là, comme tous les matins depuis le jour de la catastrophe, les lumières de l’abri s’allumèrent progressivement provoquant le réveil de ces habitants. Léo s’éveilla dans sa cellule personnelle.

-          Café Olga, dit-il en s’adressant à l’intelligence artificielle contrôlant sa petite chambre.

            Une plaque coulissa sur le mur opposé à la porte d’entrée et une tasse fumante en sorti. Tout en buvant il consultait les nouvelles de la communauté. En effet, l’élection du conseil étant prévu pour le lendemain de nombreuses informations d’effilaient sur l’intracom. Pour Léo la question été réglé depuis longtemps, il voterait pour les conseillers du renouveau, étant tout comme lui convaincu qu’un retour à la surface été désormais une priorité. Il se leva et enfila rapidement sa combinaison de travail. Dans l’ascenseur il retrouva Calia avec qui il travaillait.

-          Salut Calia.

-          Salut.

-          Oh toi tu as la tête des mauvais jours.

-          J’ai mal dormi, les élections… sa m’inquiète.

-          Comme nous tous !

            Ils arrivèrent au niveau 193, la porte de l’ascenseur s’ouvrit sur l’entrée des laboratoires. Ce dernier été composé de plusieurs salles de très grandes tailles où se mélangeaient des rangs d’ordinateurs, de flacons, de tubes à essai et d’appareils électroniques en tous genres. Un grand nombre de laborantins étaient absorbés par leur travail méticuleux.

            Calia et Léo retrouvèrent trois de leurs collaborateurs dans la salle d’étude. Ils travaillaient sur l’élaboration des nouvelles saveurs qui égayeront l’appétit des habitants de l’abri. Depuis une cinquantaine d’années, les pilules nutritives avaient été remplacées par une sorte de pain dont le goût et la texture pouvaient être génétiquement modifiés.

-          As-tu consulté l’indice de radiation ce matin ? Demanda Calia.

-          Encore trois pekrels de perdus en une semaine. Ceci n’est pas pour me déplaire, ajouta Léo, le parti en sort grandit.

-          Je le pense aussi, demain est un grand jour.

            Le grand jour était arrivé, Calia venait de rejoindre Léo dans sa cellule. Ils buvaient tout deux une boisson désaltérante d’une couleur rose. Le calme était profond et la tension palpable, lorsque crépitèrent les diffuseurs sonores.

-          Vote clos, entonna Olga, les résultats sont les suivants : le grand conseiller est réélu, les conseillers Victor et Barik sont maintenus dans leurs fonctions. Entre au conseil monsieur Barde du parti conservateur et monsieur János du parti du renouveau.

            Léo était sidéré, il regardait sa consœur d’un regard plein de désespoir.

-          Mais c’est impossible ! s’écria t-il. Nous n’avons qu’un seul membre au conseil !

-          Quelle désillusion, rétorqua Calia l’air abattu.

-          Nous n’allons pas rester ici encore cinq ans, alors qu’à la surface le niveau des radiations est devenu si faible, s’enflamma Léo en levant les bras au ciel.

-          Et pourtant, répondit la jeune fille, c’est bien ce qu’il va se passer.

            Léo attrapa son sac et commença à fouiller dans ces affaires cherchant se qu’il pourrait y mettre. Elle le regarda éberluée et lui demanda :

-          Mais que fais-tu ?

-          Je ne resterai pas à l’abri une journée de plus ! Je monte à la surface.

-          Mais tu ne peux pas faire cela, jamais tu ne franchiras le sas.

-          Ça c’est ce que l’on verra ! Le tout c’est d’être rapide.

-          Dans ce cas, je pars avec toi, lui répondit Calia en le fixant d’un regard intense et déterminé.

-          Fonce dans ta cellule et prends le strict nécessaire, on se retrouve au niveau 215.

            Calia sortit et il termina de préparer son sac.

            Alors que la plupart des habitants fêtaient leur victoire ou ruminaient leur défaite, les deux collègues se retrouvèrent dans les champignonnières. Sans préambule, Léo lui exposa son plan d’évasion.

-          Le premier problème dit-il, est qu’Olga détient la commande du sas. Pour s’en débarrasser nous n’avons qu’une seule solution, couper l’alimen-tation  générale. Pour se faire, nous devons provoquer une panne sur le circuit principal du générateur à hydrogène et empêcher les accumulateurs de secours de remplir leurs offices. Il nous faudra une synchronisation parfaite sinon Olga reprendra vite le contrôle de la situation. Tu devras passer par le laboratoire, récupérer une bouteille d’acide glonidique, t’occuper du gardien et verser l’acide sur les répartiteurs d’énergie. T’en sens-tu capable ?

-          J’espère y parvenir, répondit-elle.

-          Mais surtout une chose importante, reprit-il, tu devras verser l’acide à deux heures très précise. Lorsque cela sera fait, prend le boyau de secours et rejoint moi au vestiaire du niveau 5. Fait vite, tu n’as que trois heures.

-          Pour la liberté ! dit-elle pleine d’espoir.

             Elle lui vola un baiser et s’enfuit. Léo prit son sac et se dirigea vers l’ascenseur. Quelques étages plus haut la porte s’ouvrit sur deux jeunes filles partiellement éméchées.

-          Quel niveau ? Demanda Léo.

-          Niveau 89, répondit l’une d’elle en pouffant.

            Au niveau 112, l’ascenseur s’arrêta de nouveau pour laisser entrer un membre du culte de l’esprit en tenue de cérémonie.

-          Que l’esprit vous guide ! Marmonna t-il. 

            Il choisit son étage et l’ascenseur repartit. Une centaine d’étages plus haut et après de nouveaux arrêts intempestifs, il parvint à destination sans avoir attisé la curiosité des quelques passants. Deux gardes contrôlaient l’accès au générateur, Léo se présenta devant eux et leur dit :

-          Ouvrez la porte vite, nous avons une urgence, le rendement du générateur et sous les soixante dix pour cent.

-          Montrez-moi votre autorisation, lui demanda un des gardes

-          Je n’en ai pas, c’est une urgence.

-          Je dois consulter le grand conseiller.

-          Si vous voulez le déranger et retarder mon intervention à votre guise, mais sachez que vous serez tenu personnellement responsable si ce retard entraine le moindre incident.

            Le garde regarda son collègue, haussa les épaules, se tourna vers le mécanisme d’ouverture de la porte et l’actionna. Léo passa la porte et s’engagea rapidement vers les tuyaux d’alimentation. Il sortit de son sac un contrôleur portatif et se connecta à l’interface de gestion. Apres plusieurs tentatives infructueuses, il parvint à contrôler l’interface d’alimentation. Après de nombreux réglages, il s’estima satisfait et débrancha son appareil. A peine l’eut-il  rangé qu’un bruit lui fit lever la tête. Une seconde plus tard, il se trouvait encadré par les deux gardes qui sans dire un mot le dirigeaient vers la sortie.

-          Voilà l’intrus, conseiller János, qu’en faisons-nous ?

-          Menottez-le et emmenez-le dans mon bureau.

            Quelques minutes plus tard, Léo était menotté à une haute chaise en bois et faisait face au conseiller qui le regardait pensivement.

-          Alors mon jeune garçon, tonna t-il de sa voix de baryton. Que faisiez-vous dans la salle du générateur ?

            Léo baissa les yeux plein de dépit, tous ses espoirs s’étaient envolés.

-          J’attends une réponse, reprit le conseiller.

            Léo leva les yeux et perçu une lueur étrange dans le regard scrutateur de son geôlier.

-          Je voulais fuir se monde souterrain, trouva t-il le courage  de dire.

-          Dans ce cas vous avez besoin de moi.

            Après une quinzaine de minutes d’entretien, Léo sorti et se dirigea de nouveau vers l’ascenseur. Il y entra et reprit son ascension. Pendant ce temps János s’était occupé de joindre le grand conseiller. Il coupa la communication satisfait.

            Quelques minutes s’écoulèrent avant l’arrêt brutal de la cabine.

-          Ici le grand conseiller, j’ai été averti de votre futile tentative d’évasion, vous êtes fait comme un rat, des gardes vont vous intercepter dans quelques secondes.

            Léo regarda sa montre et se précipita dans le boyau de secours en direction des niveaux inférieurs. Une détonation retentit et plusieurs voix parvinrent à ces oreilles.

-          Il s’est enfuit.

-          Vite, équipe une remontait le boyau, équipe deux avec moi au sas

            Leur plan fonctionnait. Léo sorti sa lampe frontale au moment précis ou le générateur s’arrêta, il s’équipa et entreprit sa descente.

            Depuis vingt minutes Calia gravissait laborieusement les étages dégoulinante de transpiration. Plus que trente pensa t’elle déterminait à en finir. C’est a ce moment qu’elle aperçu une lumière, elle prit peur et ce cola contre la paroi, peine bien futile il était impossible de se cacher dans ce boyau si étroit. Puis frémissant elle entendit une voix familière.

-          Calia c’est moi, n’ai pas peur changement de programme, il faut redescendre au niveau quarante sept, pressons nous.

-          Mais pourquoi, répondit-elle nous ne partons plus ?

-          Nous allons partir mais j’ai croisé le conseiller János il a un plan, nous devons le retrouvé à ce niveau.

            Malgré leur entrainement physique non négligeable, les deux jeunes habitants de l’abri étaient épuisés lorsqu’ils retrouvèrent le conseiller au niveau escompté.

-          Tout va bien ? leur demanda János.

-          Sa peut aller, répondit Léo, mais que faisons nous maintenant

-          Calmez vous tout se passe comme prévu, connaissez vous l’existence des modules de secours ?

-          Non répondit Léo

-          Moi non plus, répliqua Calia.

-          Alors je vous explique mon plan. Je viens d’apprendre l’existence d’une salle secrète pour les évacuations d’urgence. elle est équipée d’une quinzaine de module d’éjection. Je ne sais pas vraiment pourquoi cette salle a été crée et je préfère d’ailleurs l’ignorer. Mais en l’occurrence c’est la solution rêvé pour mettre votre projet à exécution. Je vous envoie a la surface et je ferais en sorte de leur faire croire que vous m’avez agressé, allez, suivez moi.

           Ils parcoururent quelques couloirs, franchirent quelques portes et arrivèrent devant un grand mur qui ne semblait avoir aucune ouverture. Le conseiller sorti de sa poche une petite télécommande. Et après une brève manipulation le mur disparu laissant apparaitre la grande salle dont-il leur avait parlé. Ils s’approchèrent d’un des modules dont l’écoutille été ouverte.

-          A l’arrière de l’appareil vous trouverez un sac à dos où j’ai glissé deux ou trois petites choses dont vous pourrez avoir besoin. J’y ai mis des kits de survies, un laser perforant et deux combinaisons auto contrôlé. Bonne chance mes amis l’avenir de l’humanité est entre vos mains.

            Il ferma la portière et déclencha le mécanisme de lancement. Le module accéléra violement et tous deux perdirent connaissance.

            Cokikli rentrait de son exploration avec une centaine de ces congénères, trainant derrière eux une grosse créature à la carapace luisante. Il se dirigeait vers Clakito, merveilleux château témoignant du savoir faire des architectes de ce territoire. Il été entouré d’un douve large et profonde et on y accédait par un splendide pont-levis. La troupe le franchit et atteignit la cour du château. Le chef de la garde apostropha Cokikli en ces termes :

-          Qua co cli dao daditri dorini clica ? Ce qui pourrait être traduit par : quel est donc cette étrange animal ?

-          Nous n’en savons rien, répondit-elle, une sorte de scarabée de taille gigantesque, nous l’avons trouvé dans la zone 702 ou nous chassions.

-          Emmenez cela à l’entrepôt et fermez les grilles on ne sait jamais. Les chercheurs étudieront cela plus tard.

                        Léo et Calia émergèrent de leur profond sommeil.

-          Ca va, demanda Calia qui avait plus rapidement recouvré ses esprits

-          Ca peut aller, en tout cas nous somme toujours en vie. Nous devrions enfiler les combinaisons et sortir, nous allons étouffer si nous restons dans cette boite à sardines.

            Ils s’équipèrent donc puis parvinrent à ouvrirent l’écoutille du module de secours. A leur grande surprise ils ne se trouvaient pas à l’air libre mais dans une grande pièce ou s’entassé les cadavres d’énormes insectes. Léo et Calia furent surpris de la taille de ces spécimens. Les insectes n’été t-il pas de minuscules créatures ? Ils se regardèrent éberlués.

-          Mais nous sommes enfermés, s’exclama Calia.

-          En effet, répondit Léo, et j’aimerais bien savoir ou nous sommes !

            Ils descendirent de la capsule et se dirigèrent ensemble vers une grande porte en fer rouillé…

            Cokikli venait de ce restaurer et pensive elle nettoyait ses antennes. Elle repensait à sa petite escapade nocturne. Trop curieuse pour en rester là elle décida de retourner vers les entrepôts. Elle arriva devant la grille où deux gardes étaient postés.   

-          Salut les gars, leur dit-elle.

            Ils ne répondirent pas, trop occupaient à regarder de l’autre coté de la grille où l’on pouvait voir approcher deux créatures longilignes.

-          Mais se sont des « zommes » s’esclaffa Cokikli, je croyais l’espèce éteinte depuis le jour béni. Garde allez prévenir la reine que nous avons attrapés des « zommes »

            Elle s’approcha de la grille et fut surprise par un cri strident…

-          Mais se sont des fourmis s’écria Calia, des fourmis géantes.

-          Ecoute dit Léo, on dirai qu’elle parle.

            Calia tendit l’oreille et en effet perçue un étrange cliquetis qui ressemblé à un langage.

-          Koa katicli mezni Clakito entendit-elle.

            Ceux qui, elle l’ignorait encore signifiaient, bienvenue dans le chateaux de Clakito. La fourmi qui semblait parler là regardait et bougeait ces antennes.

-          Bonjour lui dit Calia, désolé mais je ne comprends pas votre langage, pourquoi sommes nous enfermés.

            Elle ne reçu en réponse qu’un autre cliquetis incompréhensible.

            A l’intérieur du château la rumeur se répandait à une vitesse colossale, en effet un simple contact antennaire suffisait à propager la nouvelle, et les antennes été nombreuses. La reine vite avertie se dirigeait déjà vers l’entrepôt aidée par quatre gardes suprêmes qui écartaient du chemin les nombreux curieux. Dans le temple beaucoup se rassemblaient pour fêter le retour des créateurs. Le château était en effervescence, il grouillait de milles mouvements. Des messagers s’enfuyaient en tous sens pour colporter la nouvelle vers les autres contées. La reine arriva à la grille de l’entrepôt.

-          Garde, dit-elle, que ce passe t’il, pourquoi sont-il enfermés

-          Heu…, Cokikli à ramené une sorte de scarabée géant et nous avons jugé plus sage de l’entreposer ici, et à notre grande surprise une aile s’est soulevée et ces deux « zommes » en sont sortis.

-          Que l’on leur ouvre la porte immédiatement trancha la reine.

            De nombreuse fourmi s’entassé de l’autre coté de la grille. Calia et Léo et de moins en moins rassuré. Certaine été armé de lances ou d’épées, d’autre  avait sur le dos un drôle de dispositif ressemblant à une arbalète. Une très grosse fourmi approcha, elle mesurer presque un mètre de long et toutes les autres s’écartaient sur sont passage. Elle cliqueta et la porte ne  tarda pas a s’ouvrir. La reine s’approcha et s’exprima dans un français juste un petit peu haché :

-          Vous êtes libre, leur dit-elle, je suis désolée que l’incompétence de mes sujet vous ai conduit dans cet endroit.

            Léo ne parvenait pas à répondre tellement il été sidéré d’entendre une fourmi s’exprimait en français.

-          Vous nous comprenez, bredouilla t’il finalement.

-          Bien entendu, lui répondit-elle votre langage et transmis de génération en génération entre les reines de tous les territoires. Nous vous rendons grace pour le jour béni ou vous nous avait permis d’évoluer et en mémoire de votre intervention nous nous transmettons l’usage de votre langue. Puis-je vous demandez d’où vous venez ?

            Léo remis du choc de la révélation parvint à s’exprimer normalement :

-          Nous vous remercions de votre accueille, de plus nous ne sommes point offensé par la méprise de vos sujet. Nous venons d’un abri souterrain ou nous vivions depuis des siècles.

            La reine le regarda, hocha la tète de façon étrangement humaine et lui répondit :

-          Dans se cas suivez moi je vais vous faire voir quelque chose.

            Le cortège déambula de couloir en escalier, Léo et Calia ne cessaient d’être impressionnaient par le style architectural de ce château. Dans les couloirs des tapisseries illustraient avec merveille l’histoire de la civilisation fourmienne. Sur l’une d’elle été représenter un splendide champignon atomique, symbole devenu sacrée pour les fourmis. La reine ordonna aux gardes de faire évacuer la foule et escorta les deux « zommes » vers la grande tour. Ils montèrent pendant un long moment à l’aide d’une rampe en colimaçon et débouchèrent enfin au point culminant du château. La vue été incroyable tant la tour dominé l’ensemble du paysage. Tout autour d’eux l’horizon été visible. Les premières lueurs du jour laissé découvrir avec subtilité les différents éléments composant ce merveilleux panorama. A l’ouest la lune faisait concurrence aux dernières étoiles dont les ultimes scintillements feraient bientôt place au soleil. Léo et Calia reçurent un tel choc qu’ils en pleurèrent de joie, ivres de la vue qu’ils espéraient tant voir un jour, écrasé par l’immensité de l’univers. Le chant des insectes se leva comme naguère se levait le chant des oiseaux. Le soleil inondait le paysage de ces rayons bienfaiteurs. De nombreuses espèces végétal avaient survécues ou avait évolué pour s’adapter aux nouvelles conditions de vie. La nature inexorablement reprenait ces droits, créant une nouvelle harmonie.

            La reine et ces deux convives restèrent un long moment pour profiter de ce spectacle puis avec toute la courtoisie qui la caractérise, elle leur dit :

-          Suivez moi au grand salon, peut être voudriez vous vous restaurez tout en poursuivant notre conversation.

-          Ce sera avec un grand plaisir, reprit Léo.

Ils suivirent la reine et après une nouvelle succession de rampes  de virage  et de couloir ils arrivèrent dans une pièce immense. Les murs été couvert de trophées de chasses de toute sorte. L’un deux attirait particulièrement l’attention, c’été une tête de scarabée de taille gigantesque nantie de trois cornes pointues et luisantes. Une créature féroce dont la mise a mort provoqué la gloire et la richesse du guerrier victorieux. Des fourmis arrivèrent en tous sens chargé de victuailles et de boissons diverses. Calia et Léo en goutèrent beaucoup mais finirent par portée leur choix sur une boisson alcoolisé et nutritive  qui n’été autre que la fameuse liqueur de miellat.  Les « Zommes » et les fourmis discutèrent durant des heures de leurs situations respectives. L’alcool ayant eut raison de leur dernières forces les deux humains s’endormir d’un sommeil heureux.

            Les jours s’écoulèrent paisiblement pour Léo et Calia. Ils s’étaient enfin dévoiler leurs sentiments et vivaient dans un bonheur absolu. Bientôt ils eurent des enfants qui eurent des enfants qui eurent des enfants formant ainsi le noyau d’une nouvelle humanité.  La compagnie des fourmis été exaltantes, leur niveau intellectuel été phénoménale et surpasserai bientôt celui de l’homme.

            Dans l’abri les jours s’écoulait également mais de façon bien plus monotone, des conseillers été élues d’autre déchues. L’évasion de Léo et Calia devint un mythe. Les hommes de l’abri ne sortirent que cinq siècles plus tard. Ils montèrent à la surface et connurent enfin cet incroyable paradis qu’était devenue la terre. 

   

Remerciements

            Je remercie tout particulièrement ma chère et tendre moitié qui a passé de long moment à lire et relire cette nouvelle pour l’alléger de ces nombreuses fautes de grammaire, d’orthographe, de conjugaison et de syntaxe.

            Je vous remercie également vous chère lecteur d’avoir prit le temps de lire cette petite histoire. J’espère qu’elle vous a plus ? Si cela est le cas j’aurai le plaisir de reprendre ma plume pour  vous en proposez une version plus longue et plus riche.

            Pour finir je remercie mon employeur dont le laxisme et l’incompétence ma permis de trouver le temps d’écrire ces quelques lignes.

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